A l’occasion des Rendez-vous de l'histoire de Blois (13-16 Octobre 2011) dont le thème est l’Orient, Gallica raconte les voyages vers le Levant au XIXe siècle.

L’Orient exerce une fascination tout au long du XIXe siècle : de la campagne d’Egypte de Bonaparte (1798-1801), à laquelle participe Vivant-Denon, aux missions des scientifiques s’appuyant sur les clichés photographiques de la fin du siècle, en passant par l’expérience originale d’Emile Prisse d’Avennes.
Les peintres, les écrivains entreprennent le voyage vers l’Orient, c’est un moment fort de l’existence, une expérience à vivre. On se replongera avec bonheur dans les récits de Chateaubriand, Lamartine, Théophile Gautier, Ernest Renan, Pierre Loti, Victor Hugo, Eugène Fromentin, Maxime Du Camp.

Les nombreuses peintures et croquis reproduits par la lithographie ont idéalisé l’image de l’Orient tandis que la photographie apportera, dans un second temps, la précision que les missions notamment archéologiques nécessitaient.
L’Orient apparaît pour tous comme une terre de contrastes, de mystères. A toute époque les pays lointains ont fasciné les hommes.

Il y a 200 ans, le 22 octobre 1811, Franz Liszt vit le jour. Ce bicentenaire est l'occasion de parcourir quelques portraits qu'en ont laissés ses contemporains et amis, mais aussi quelques partitions manuscrites. Compositeur, Liszt fut aussi un pianiste virtuose de renommée internationale ; ses voyages, notamment en Italie, ont inspiré son œuvre musicale mais aussi de précieux témoignages.

Il y a 100 ans, le 10 octobre 1911, une rébellion militaire éclata en Chine, dans la province du Hou-pé (Hubei), point de départ d'une révolution qui mit fin à l'Empire millénaire. L'empereur mandchou, Puyi, fut contraint d'abdiquer l'année suivante, et de laisser le pouvoir au premier président de la république chinoise, le docteur Sun Yat-Sen. Depuis lors, le 10 octobre est jour de Fête nationale en Chine populaire comme à Taiwan, sous l'expression "double dix " (10e jour du 10e mois).

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